Pour la Paix et la fraternité : initiation à la non violence

La problématique du mécanisme de la paix : gage de l'économie,
de la non-violence et de la mondialisation.
La liberté, l'égalité et la fraternité gage de la bonne compréhension,
de l’écoute des hommes du monde.

Professeur Victor KADIMA

Ce mécanisme donne un sens solide dans la combinaison d'esprit comme celui d'une horloge auquel le premier atelier peut réfléchir, c'est-à-dire pénétrer le sens de démontrer le mécanisme.

Le bon sens de la liberté de l'esprit des hommes constitue un mécanisme délicat dit "mécanisme économique".

La compréhension de ce mécanisme comme mode d'égal en ce qui concerne leur fonctionnement voudrait faire assimiler aux humains que leur ‚change est issu d'une même combinaison biologique et constitue un processus auquel nous sommes en train de reconstruire ce jour comme même pensée humaine dite "mécanisme de la parole".

Au cour de cette réflexion, certains amis trouveront que la combinaison de la totalité de mouvement physique par exemple, constitue un phénomène qui peut-être ramener à une expression saine entre les humains et qui donne un sens de vie conviviale plus large et qui, minimise ou réduit par la suite les frontières entre les hommes. c'est le caractère qui justifie la naissance d'un comportement serein que décrit aujourd'hui notre séminaire international.

Si leur vie conviviale peut remplir son office, alors pour prétendre être libre, être égal, ou être fier ! Bref pour agir dans ce comportement, nous mettrons en proposition un but et aussi un plan, puis nous passons au mécanisme par la réalisation ; qui règle et qui transforme tout mouvement lié au comportement qui donne à l’individu une impulsion d’un sens fraternel, qui n’est qu’une combinaison naturelle de toutes les pièces qui conduisent à la paix durable sans âme et accomplit les œuvres d’un homme ( liberté, égalité, fraternité…). Car le fait d’agencer ou de combiner plusieurs éléments de la culture conduisent à la paix.

Voilà pourquoi, ce séminaire culturel ou de haute culture trouve sa bonne place dans la mondialisation qui est un défi à la société humaine.

Notre réflexion de la nouvelle culture pour ce monde sera inhérente, car nous sommes tous appelés à penser à l’ unité de l’humanité tout en conservant la diversité. Ici une question de réflexion ira à la différence entre les peuples. « Qui nous conduit à affirmer que l ‘homme est un être de culture », cette réflexion démontre que l’homme s’adapte à son niveau et à lui-même aussi c’est-à-dire à ses besoins, à ses projets. C’est là la transformation de la nature qui est interprété par la culture.

Hors, lorsque nous parlons de culture, nous faisons appel à une évolution historique liée à une pensée sociale de l’idée moderne de culture.

Quand bien même nous parlons de la liberté, de l’égalité ou de la fraternité à la rencontre des cultures avec des modèles très variés mais qui aboutit à un résultat très contrasté de part leur contact. Nos recherches à ce stade, vont sur l’acculturation pouvant nous permettre d’aller au delà des idées reçues sur les propriétés de la culture.

Ici, nos pensées peuvent aussi démontrer que la culture est au centre de la sécurité globale des groupes sociaux hiérarchisés entre eux. Notre réflexion va de la hiérarchie sociale qui détermine la hiérarchie culturelle. Ceci démontre à suffisance que la culture du groupe qui domine détermine le caractère des cultures des groupes sociaux dominés.

C’est ici, la naissance de la violence, des conflits, des palabres auxquels la culture des classes populaires sont dépourvues d’autonomie, et de la capacité de résistance. Qui constitue actuellement un défi à relever , car tous ces mots sont associés aux idées de progrès attendu par civilisation c’est-à-dire par culture égal progrès individuel, alors que civilisation égal progrès collectif.

Qu’adviendra-t-il lorsque tous ces concepts s’opposent comme par exemple, liberté s’oppose à l’égalité, la culture s ‘oppose à la civilisation comme s’oppose à la profondeur s’oppose à la superficialité .


Ici l’humanité est obligé de reconnaître sa noblesse comme étant civilisée mais manque singulièrement de culture. Le défi lancé par ces concepts démontre qu’en l’absence de la bonne réflexion qui peut rapprocher les bons sentiments conduit l’humanité au chaos, conflits et guerre de tout genre.

Nous serons tenus au cours de cette réflexion de comprendre à l’ordre du jour pour la paix durable et économique qui nous a maîtrisé la signification de chaque concept qui n’est qu’une culture de la société humaine à étudier.

Dans la partie B de notre approche nous verrons comment tous les concepts utilisés précédemment et les objectifs du séminaire peuvent être considérés comme concept, ou de la formation pour une économie durable entre communauté et ouvre la voie de la mondialisation entre systèmes de reproduction pour l’unité du monde.

Ici, chaque individu s’atèle à la formation de la reproduction de sa production comme disent les africains.

Une éducation n’est qu’ un reflet de l’invitation qui voudrait dire apprendre à quelqu’un à devenir maître de quelque chose comme avoir la liberté ou de devenir frère de quelqu’un d’autre c’est-à-dire à devenir une meilleur connaissance, en favorisant l’échange d’égal à égal comme des données d’expériences sur base bilatérale.

Cette réflexion conduit à la formation d’adultes en vue de faciliter le développement de diverses formes de contact et de coopération entre individus.

La réponse à cette réflexion conjointe réalisé par les ateliers intéressés ou par l’échange dans le couloir d’information sur les résultats des expériences des autres facilitent d’un côté le lien solide dit ciment qui existe entre l’union des pensées d’individus pour atteindre l’objectif du PKEA

Voilà pourquoi, à ce jour PKEA, intensifie l’échange d’information relative à l’éducation de la nouvelle classe pour un niveau millénaire qui se distingue par une acquisition des connaissances et d’expérience pertinente de tous les concepts qui nous conduisent à l’économie durable spécialisée.

Le besoin du développement économique et social entre communauté (individus) encourage les échanges d’expériences en atelier ou en focus groupe pour une compréhension internationale, en se référant particulièrement aux grands problèmes de l’humanité dont la solution appelle une approche commune dite ciment entre communauté intellectuelle et une plus large coopération internationale.

Les conclusions de l’atelier nous nous conduisent à l’esprit d’accroître la possibilité de mettre ensemble la connaissance mutuelle et de faciliter la présentation de nos expériences positives des informations sur les innovations techniques dans le domaine de la formation.

Cet arsenal de concept conduit l’humanité, la communauté à rechercher la paix (c’est-à-dire la non-violence) dans le système de valeur qui réussi nos communautés.

La paix = absence de la guerre des pensées c’est-à-dire cessation des hostilités. Ce qui veut dire l’état de concorde entre les groupes sociaux ou entre les membres d’une communauté.

L’expression vivre en paix avec son voisin, c’est-à-dire en paix avec sa conscience qui souligne la tranquilité, ce pour dire la paix des cimetières = l’état d’un lieu qui ne connaît pas d’agitation.

Toute cette recherche de ma part prouve à suffisance que parler de la liberté, égalité comme frère constitue un ciment économique entre communautés, qui démontre se réconcilier = faire la paix. La paix intellectuelle qui n’est qu’un état où chaque intellectuel se tient sur pied de non – violence intellectuelle.

Le manque d’organisation du cadre d’intelligensia inflige à l’humanité d’indicibles souffrances auquel le PEKEA se mobilise pour surmonter ce fléau. C’est la recherche du maintien de la justice de la justice et du respect des obligations nées des traités et d’autres sources de droit à la formation des adultes au plan international.

Ceci favorise le progrès social, intellectuel et instaure des meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande.

Toutes les résolutions de système de vie ont pour finalité la pratique de la Tolérance, à vivre en paix l’un avec l’autre dans un esprit de bon voisinage. C’est unir nos forces intellectuelles pour maintenir la paix et la sécurité internationales dans un intérêt commun.

Cette disposition finale et économique recourt et favorise au niveau international le progrès économique et social de la communauté.

C’est ainsi que l’enjeu de notre INGD en .. réside dans la mise sur pies comme résultat attendus des stratégies sociaux intellectuelles du contexte culturel et de la formation à donner pour toute fin utile.

Voilà pour quoi la problématique ce cet atelier séminaire réside dans la construction d’une société comme fruit de la paix. Quels mécanismes de la culture, de l’égalité, de la tolérance, de la non-violence, de la liberté, de la fraternité dont nous avons besoin ?

C’est ainsi que ces mécanismes seront allongés au niveau international afin de pouvoir concrétiser des solutions universelles applicables à des situations concrètes.

Nous devons y aller par des méthodes d’observation participative, auxquelles nous invitons nos frères à la conquête de la formation des adultes comme gage de la mose critique pour la paix dans la monde des intellectuels.

L’apprentissage de la non-violence évoquée précédemment semble être déterminant pour construire un monde fraternel durable.
L ‘éthique de valeur intellectuelle de la non-violence appelle à éduquer les individus et leur montrer les techniques de résistance non violentes pouvant désamorcer cette campagne en vue d’aider la population opprimée intellectuellement à se hisser sur le chemin de la mondialisation en vue de se défendre.
Concrètement ,nous voulons dire que les communautés intellectuelles ou non doivent se faire accompagner des défenseurs intellectuels qui recouvrent en eux la liberté ,le sens de la fraternité et le droit de l’homme dans une longue démarche de dialogue et d’implantation de la société civile.
Ceci ,voudrait dire que l’action non-violente de la société civile ne pourra qu’être morale ,car il faudra éduquer les gens à se comprendre, à écouter et à se découvrir.
Cette disposition invite les communautés entières à comprendre que tout pouvoir conquis dans la violence disperse les bonnes idées et porte en lui-même le germe des nouvelles violences dans les pensées des individus.
Et que les échecs des enseignements pour la plus part des expériences soulignent l’impasse de l’expression : Liberté, égalité et fraternité .
Ce cadre nous rapproche à soutenir le renforcement du Droit International ,c’est à dire ,former et se former en vue de soutenir l’intelligence du peuple de par les expériences et vaincre les réticences de la médiocrité intellectuelle ,en faisant le pas vers le refus de l’impunité intellectuelle qui est un crime pour l’Humanité.
L’ONG CUCAFE souhaite et propose le respect dû à la formation des adultes pour le même idéal que poursuit PEKEA ;les règles et les enjeux de tous ,et développer une nouvelle éthique intellectuelle entre individus.
Avoir une pensée d’attention aux plus faibles intellectuellement et de créer une solidarité entre le monde des intellectuels et leur s communautés et de protéger l’environnement.
Pour cette faire ,la liberté de l’action non-violente où chacun dans sa vie est appelée à bannir la non-violence intellectuelle dans ses pensées et à considérer comme contraire à l’idéal de la paix.
Les modes éthiques font appel à l’intelligence et à la volonté d’écouter les autres par le dialogue d’ensemble et apprendre à faire confiance aux autres ,c’est à dire avoir l’impulsion de sortir de l’égoïsme intellectuelle de nos intérêts individuels ou de groupes et renoncer à des avantages indus.
L’humilité de ne pas pouvoir œuvrer positivement pour l’intérêt ,dans la solidarité avec tous en vue d’aboutir à la fraternité recherchée.

Prof. Victor KADIMA
Modératrice : Mme Georgette BILONDA